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From garage to unicorn – Employment law lessons for scaling tech teams
Catherine Bourne
Je dis souvent aux clients qui viennent me consulter en droit de la famille que nous avons beau être à seulement quelques dizaines de kilomètres de nos voisins français, dès qu’on aborde des questions de droit international privé de la famille, ce sont des années-lumière qui nous séparent. Le système anglais est souvent cité en exemple, les décisions judiciaires étant souvent généreuses sur le plan financier pour la partie faible. Dans d’autres domaines néanmoins, nous sommes nettement à la traîne.
Ce qui est frappant d’un système à l’autre, c’est l’écart qui peut exister entre le nombre de divorces, et les motifs du divorce. Dans les deux systèmes (en l’espèce l’Angleterre et le Pays de Galles par rapport à la France, à l’exclusion de l’Ecosse et de l’Irlande du Nord), à peu près le même nombre de gens divorcent chaque année.
I often tell family law clients that the English Channel may only be 30 miles wide but it may as well be 30,000 miles deep for le consentement. In England, we sometimes point to the generous financial provision for weaker financial parties as a sign of a civilised financial system. In other respects, we are not so far ahead.
A stark picture of differences in divorce procedures appears when you compare statistics on number of divorces and reasons for divorce. In both jurisdictions (referring to England and Wales vs. France, excluding Scotland and Northern Ireland) broadly similar numbers of people get divorced each year.
Surrogacy lawyers were all waiting with baited breath for the decision in the recent Re Z (A child) 2016 EWHC 1191. In this case, a single father made an application for a declaration that the refusal to grant him a parental order was incompatible with the European Convention on Human Rights/the Human Rights Act.
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